janvier 2018

premier, dix huit vingt yo. je viens de découvrir le chant de gorge inuit et j'écoute maintenant de la musique arménienne relaxante, je suis toute seule à l'appartement pour la semaine, youpi ?
j'aimerai faire quelque chose de mes vieux écrits

le trois, à dix-huit heures quarante cinq ; j'ai revu song to song et me lance dans un mooc sur la physique quantique, j'aime bien sa poésie : le rayonnement du corps noir.
pour song to song, bien moins d'exaltation évidemment
rayonnement du corps noir et catastrophe ultraviolette

mardi neuf, oulala je n'écris pas. vingt et une heure vingt sept, la pote * de q. joue à the Witness.
le questionnement de la différence entre le zen et la dépression est revenu

dimanche quatorze, dix sept heure trente trois, je lis geralt dans la chambre pendant que q. joue à dead cells, je viens de relire le mois de janvier de l'an passé
Willow nous fait beaucoup de soucis, on aurait pu ne jamais le revoir après sa nuit chez le vétérinaire, étrangeté de l'attachement à un animal
le psy m'a prescrit des antidépresseurs, je trouverai le zen une autre fois
(je ne sais pas si je vais prendre ces antidépresseurs, j'ai re rendez vous demain, je préfèrerai arrêter les autres avant)
j'ai vu stranger than paradise ce matin, tombée amoureuse d'eszter, belle hongroise
Il faudrait que j'arrive à investir mon avenir / mon chômage autrement que par la peur (la dépression) mais un problème est que je n'ose pas retourner là où j'ai fui bliblu
mon psy propose des solutions bourgeoises à mon inactivité, à ma réclusion, ça m'ennuie et quand il s'approche avec ses idées de psychanalyste lacanien avec des groupes de travail je me recroqueville, non merci.
c'est assez fou comme je n'arrive plus du tout à lire des choses *grandiloquentes*, théorico-théoriques, branlette intellectuelle.
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très vide la semaine dernière, voire même désespérée, j'ai vu du rouge en m'essuyant aux toilettes et j'ai pensé "ouf" et je voulais écrire un truc sur le *soulagement du sang*,
et le lendemain ça allait mieux
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est ce que je vais à Brest pour le festival longueurs d'ondes ? pliplou.

22 à vingt et une heure quarante et une : tentative de regain de vie après gros chagrin chez le psy ce matin
penser par exemple au poème écrit dans ma tête l'autre jour, bringebalée dans la voiture, les ombres des arbres faisaient pulser les rayons de lumière sur mes paupières fermées et derrière elle un spectacle de couleurs et de formes géométriques magnifique ; kaléidoscopique
demain aller à la bibliothèque pour des bds, le nao de Brown à la tête ppuis mercredi piscine avec *
que faire de mon avenir est la question du moment, ça tangue et je veux disparaître mais ça suffit l'apitoiement!
ce soir j'ai apprécié regarder des bandes annonces étranges sur ptp avec q. ça me rappelle l'immensité
(mamie * est morte la semaine dernière.)
/aussi l'idée d'écrire sur les potentialités de ma folie: ce que je réprime rationnellement

/noter les choses que j'aime bien comme là, le début du tome de the witcher, avec un personnage unconnu, un coursier qui par son regard personnel et quelques changements liés son métier nous apprend la situation géopolitique en cours dans l'histoire : la guerre approche car les rois n'ont plus confiance aux magiciens : ils s'envoient des messages sans passer par eux.
C'est calme, pas de discussion chiante.
Une bonne scène d'exposition.

24, dix huit heures cinquante et une, fatiguée mais foutre la sieste. Aujourd'hui je suis allée à la piscine uh oh.

25, Vingt trois heure onze. On vient de regarder the pit and the pendulum, j'aime bien les flashbacks bleus. J'ai commencé nier automata et iconoclaste. Bliblu



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