Oh, il y a longtemps depuis la dernière entrée laissée en friche ; le mois dernier il y a eu la transformation de ce présent changelog en pdf et du silence. Sans doute aussi que le réagencement de l'appartement avec mon bureau déplacé a ralenti des choses, le temps de réapprivoiser l'espace ; et « Le contrat salarié se meurt, le licenciement tarde à apparaître et dans ce clair-obscur de l'abandon de poste je m'ennuie dans l'anxiété. » tootais-je sur piaille [un petit récap de l'année là-bas]
Là, je vais tenter de faire une page de notules, en partant d'août. Les dernières notules publiées sont une ébauche de printemps ; mes arborescences éparses et dossiers "back-up" ou "Projets" sont des sacs de noeuds où je me perds, des traces étrangères - effrayant brouillard.
le 12 janvier
en bord de mer avec l'ordinateur portable où une centaine de flux RSS patiente leur ouverture - je ne les ai pas (encore ?) transféré vers l'ordinateur fixe que j'utilise principalement maintenant. voilà ce que je picore ce matin, à la place d'écrire un article en cours sur l'analyse institutionnelle et le prendre soin:
- L'atelier numérique de la fin du monde : je me demande combien de mes fragments correspondent à des items de cette liste.
- offering bliss to chaos, des résonnances
- 2022 : faire face, une rétrospective de l'année sur Ballast, que je ne prends plus le temps de lire sans trop savoir pourquoi alors que cette revue m'a beaucoup nourri par le passé
- The book of leaves, si je devais faire le tri de mes flux RSS, je garderai les récoltes de wiley wiggins bien entendu
Rien ne reste longtemps une habitude chez moi.